vendredi 31 octobre 2008

Un supplément de vitamine D en début de grossesse peut aider à prévenir la pré-éclampsie et le calcium préviendrait la pré-éclampsie

Une carence en vitamine D en début de grossesse est associée à un risque 5 fois plus élevé de prééclampsie, selon une étude publiée dans « the Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism ».

Dans cette recherche assez récente, les scientifiques ont évalué des données et des échantillons de sang prélevés sur des femmes et des nouveaux nés entre 1997 et 2001 inscrits à une étude qui visait à examiner les facteurs de risque de pré-éclampsie. Cette complication sérieuse de la grossesse est caractérisée par une tension artérielle élevée et l'oedème (l'enflure) des mains et des pieds et est une des causes principales de l'accouchement avant terme et de complications maternelles et néo-natales incluant la mort. Les résultats de l'étude montrent qu'une carence maternelle en vitamine D en début de grossesse est un facteur important et indépendant de pré-éclampsie. Ce risque élevé demeure présent même après ajustement pour d'autres facteurs de risque connus tel que la race, l’ethnicité et le poids avant la grossesse.

Une autre inquiétude provenait du fait que beaucoup de ses femmes prenaient des vitamines prénatales, qui contenaient typiquement 200 à 400 IU de vitamine D. « Même un petit déclin dans la concentration de vitamine D double le risque de pré-éclampsie,» a noté James M. Roberts, M.D., auteur sénior de l'étude. « Et comme les réserves en vitamine D du nouveau-né sont complètement dépendantes de celles de la mère, les faibles niveaux de vitamine ont été aussi observés dans le sang du cordon ombilical des nouveaux né des mères souffrant de pré-éclampsie. » Les chercheurs ont conclu que la carence maternelle en vitamine D peut être un facteur de risque indépendant pour la prééclampsie et que l'addition d'un supplément de vitamine D en début de grossesse devrait être considéeé afin de prévenir la pré-éclampsie et promouvoir le bien-être néo-natal.

À propos de la pré-éclampsie

Source: Maternal Vitamin D Deficiency Increases the Risk of Preeclampsia, Lisa M. Bodnar, Janet M. Catov, Hyagriv N. Simhan, Michael F. Holick, Robert W. Powers, and James M. Roberts, Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism September 2007, Vol 92, No.9:3517-22

Deux à trois pour cent des femmes enceintes souffrent de pré-éclampsie. Cette maladie, caractérisée par une hausse importante de la pression sanguine, provoque chaque année près de 40 000 décès dans le monde.
En 2002, après avoir analysé les études qui utilisaient des suppléments de calcium, le Collège Américain des Obstétriciens et Gynécologues avait conclu que la prise de ce minéral n’avait aucun effet sur la pré-éclampsie.
Depuis, les connaissances ont évolué : une nouvelle synthèse de 12 études montre qu’un complément de calcium permettrait de prévenir significativement cette affection. La prise journalière d’1,5 g de calcium diminuerait de 30 % les risques d’hypertension, et de 52% les risques de pré-éclampsie. La supplémentation serait plus efficace chez les futures mères qui ont une alimentation pauvre en calcium, 64 % de cas de pré-éclampsie en moins, et chez les femmes à risque – qui souffrent déjà d’hypertension ou qui ont des antécédents familiaux – avec une diminution des cas de 78%. Enfin, la supplémentation réduirait de 20 % le nombre de décès dus à cette maladie.
Sur la base de ces recherches les scientifiques conseillent au futures mamans de prendre des suppléments de calcium.

Hofmeyr G : Calcium supplementation during pregnancy for preventing hypertensive disorders and related problems. Cochrane Database Syst Rev. 2006 Jul 19;3:CD001059.

mercredi 29 octobre 2008

Prenez des mesures maintenant pour protéger votre vision plus tard

Une consommation alimentaire élevée d'antioxydants incluant la bêta-carotène, la vitamine C, la vitamine E et le zinc, peut réduire le risque de développer une dégénérescence maculaire liée à l'âge, la cause la plus commune de cécité permanente dans les pays développés.

La dégénérescence maculaire est une maladie dégénérative rétinal qui provoque la perte progressive de la vision centrale et la cause la plus commune de la perte de la vision chez les individus au-delà de 55 ans dans les pays développés. Bien qu'elle ne provoque que rarement la cécité totale, la dégénérescence maculaire détruit la vision centrale nécessaire pour exécuter beaucoup de tâches quotidiennes que nous prenons pour acquises telles que : reconnaître des visages et des couleurs, regarder la télévision, faire de la lecture, conduire, exécuter un travail minutieux et détaillé et parcourir en toute tranquillité les escaliers. Le risque de développer une dégénérescence maculaire augmente avec l'âge. Un rapport publié dans « the Journal of the American Medical Association » a constaté que les individus dont le régime contient de hautes quantités de bêta-carotène, de vitamine C, de vitamine E et de zinc ont un risque inférieur significatif de développer une dégénérescence maculaire que les gens dont le régime contient des niveaux inférieurs de ces nutriments. Cette étude a inclus 4 176 hommes et femmes à risque de dégénérescence maculaire qui étaient des participants à l'Étude de Rotterdam incluant 7 983 hommes et femmes âgées de 55 ans et plus. La consommation des nutriments a été évaluée via des questionnaires de fréquence des aliments complétés par tous les sujets. Les participants ont subi des examens des yeux lors de l'inscription et trois fois pendant les huit années de suivi. 560 sujets ont été diagnostiqués avec une nouvelle dégénérescence maculaire pendant la période de suivi. Les participants avec une consommation au-dessus de la moyenne de tous les quatre nutriments incluant la bêta-carotène, la vitamine C, la vitamine E et le zinc, avaient un risque réduit de dégénérescence maculaire de 35 % comparé à ceux dont la consommation de n'importe lequel des nutriments était au-dessous de la moyenne. Cette étude suggère que le risque de développer une dégénérescence maculaire peut être réduit par le régime; en particulier par la les antioxydants alimentaires: la bêta-carotène, la vitamine C, la vitamine E et le zinc.

Source: Dietary Intake of Antioxidants and Risk of Age-Related Macular Degeneration, Redmer van Leeuwen, Sharmila Boekhoorn, Johannes R. Vingerling, Jacqueline C. M. Witteman, Caroline C. W. Klaver, Albert Hofman, Paulus T. V. M. de Jong, JAMA 2005;294:3101-3107

lundi 27 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - Mon essai clinique personnel

À la suite de la récupération miraculeuse de ma femme, j'ai contacté cinq de mes pires cas de fibromyalgie chez mes patients et leur ai demandé de prendre les mêmes suppléments que ma femme. Ils étaient tous d'accord parce qu'ils n'étaient pas seulement misérables, mais ils se sont aussi rendu compte que tout ce que la médecine traditionnelle avait à leur offrir était une médecine de symptômes et d'encouragements pour trouver un groupe de soutien pour apprendre à vivre avec cela.

Les patients n'ont pas eu une réponse aussi rapide que celle de ma femme, cependant, en 6 mois ils m'ont tous remercié de leur avoir permis de retrouver leur vie. Ma femme et ces patients souffrent encore de fatigue chronique et de fibromyalgie, cependant, ils ont repris le contrôle de leur vie. Ils ont tous remarqué l'amélioration graduelle de leur degré de fatigue, de leurs habitudes de sommeil et de leurs symptômes de douleur. J'ai été capable d'aider littéralement des milliers de gens qui souffrent de cette maladie en partageant mes recommandations spécifiques au cours de ma pratique médicale et celle de ma pratique en ligne que vous trouverez à l'adresse suivante: http://www.drraystrand.com/.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Parution: 10 juillet 2008

dimanche 26 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - Ma conversion

Les gens me demandent toujours pourquoi j'ai changé d'avis quant au fait de recommander des suppléments nutritionnels. Je leur dis simplement que c'est la faute de ma femme. Ma femme a souffert de fatigue chronique et de fibromyalgie pendant plus de 25 ans. Elle a pensé quand elle s'est mariée avec un médecin que sa santé s'améliorerait. Elle s'est complètement trompée. Peu importe ce que j'ai fait ou prescris, sa condition se détériorait année après année. En 1995, elle a contracté une sérieuse pneumonie. Même si cela s'est réglé, elle est demeurée avec une fatigue importante. Elle était seulement capable de sortir du lit une ou deux heures par jour et cette condition a duré plusieurs mois, malgré qu'elle ait consulté quatre différents spécialistes et pris neuf médicaments prescrits.

À ce moment, ma femme a commencé à prendre quelques suppléments nutritionnels qui lui ont été donnés. Au cours des jours suivants, elle s'est sentie mieux et au cours de deux ou trois mois suivants elle avait cessé toute sa médication. Elle a commencé à être mieux qu'elle ne l'avait été depuis les dernières années. C'était vraiment stupéfiant pour moi. Il n'y a rien de plus difficile pour un médecin que de voir sa femme souffrir et de ne pas être en mesure de faire quoi que ce soit pour elle. Ensuite, cette peur s'est remplacée par la peur qu'elle se soit améliorée grâce à quelques vitamines. Ceci entrait en contradiction avec tout ce que j'avais cru et avais enseigné à mes patients depuis les 23 premières années de ma pratique. C'est aussi ce qui m'a lancé dans cette recherche intensive des avantages des suppléments nutritionnels sur la santé . Si quelque chose existait qui pourrait aider mes patients, je voulais certainement en savoir plus.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Parution: 6 juillet 2008

jeudi 23 octobre 2008

La santé avant tout : les notes de Dr Wentz - Un mini-guide sur les bouteilles en plastique

Le premier pas vers un style de vie sain consiste à prendre connaissance de l’information la plus récente en matière de santé pour ainsi faire des choix éclairés. Afin de vous aider à penser santé avant tout, le fondateur d’USANA Health Sciences, Dr Myron Wentz, partage son expertise et fait le point sur les études les plus récentes.
---------------------------------------------------------------------------------

Le plastique est omniprésent dans notre quotidien et même si la sûreté du produit nous inquiète, il peut être difficile de s’en passer. La plupart des bouteilles et contenants en plastique arborent cependant le symbole de recyclage, ce qui peut nous aider à déterminer l’usage que nous voulons en faire.


Un mini-guide sur les bouteilles en plastique
Vous avez sans doute entendu parler des substances chimiques toxiques qui s’échappent des bouteilles et contenants en plastique. Le fait de les chauffer ou de les réutiliser peut augmenter l’exposition à des hormones mimétiques ou à certaines autres substances chimiques.

Le plastique est partout, mais il ne constitue pas toujours une menace pour la santé de votre famille. Comment savoir quels sont les plastiques les plus nocifs ou les moins dangereux? Le numéro inscrit dans le symbole de recyclage à la base des bouteilles ou contenants est un excellent indice. Chaque numéro indique si l’objet est recyclable ou non et également, la catégorie du plastique et ses composants chimiques :

No 1 PETE ou PET (polyéthylène téréphthalate)

No 2 HDPE (polyéthylène de haute densité)

No 3. V (vinyle) ou PVC

No 4. LDPE (polyéthylène de basse densité)

No 5. PP (polypropylène)

No 6. PS (polystyrène)

No 7. Autre

En résumé, si le numéro 1, 2, 4 ou 5 figure à la base de la bouteille, elle est fabriquée avec un des plastiques les plus sécuritaires. Les numéros 3, 6 ou 7 indiquent une possibilité plus élevée d’émission d’un résidu chimique dans le liquide qu’elle contient. Le plastique le plus nocif est celui de catégorie 3, soit le PVC ou polychlorure de vinyle, suivi de celui de catégorie 7 qui peut contenir des polycarbonates (bisphénol A).

Une autre règle empirique : plus le plastique est souple, plus il risque de laisser échapper des substances. Votre odorat peut aussi être utile : si le contenant sent légèrement le plastique, il faut en prendre un autre. Bien entendu, pour les aliments et boissons, il vaut mieux éviter entièrement les contenants en plastique et dans la mesure du possible, choisir plutôt ceux qui sont réutilisables en verre, métal ou céramique.

Children’s Health Environmental Coalition

The Green Guide

Source: Usana Health Sciences

La consommations de multivitamines diminue le risque de pré-éclampsie

L'hypertension pendant la grossesse (pré-éclampsie) peut avoir comme résultat des complications sérieuses pour la mère et l'enfant. Les résultats d'une étude montrent que la consommation régulière d'un supplément de multivitamines dans les mois précédents la grossesse et pendant la grossesse peut réduire le risque de pré-éclampsie jusqu'à 71 %.Les femmes minces qui ont consommé des multivitamines avant et pendant leurs grossesses ont réduit leur risque de pré-éclampsie, une complication de la grossesse caractérisée par la tension artérielle élevée, l'enflure des extrémités et de la présence de protéines dans l'urine. Si cette condition n'est pas soignée, elle peut progresser jusqu'à l'éclampsie, qui peut mener aux convulsions, au coma et même à la mort de la mère ou de l'enfant. L'étude a impliqué 1 835 femmes enceintes engagées dans des études sur les grossesses à risque et sur la prévention de la pré-éclampsie. Toutes les femmes étaient à moins de 16 semaines de gestation et ont été questionnées sur leur consommation régulière de multivitamines ou de vitamines prénatales dans les six derniers mois. Les femmes qui ont rapporté une consommation de multivitamines ou de vitamines prénatales pendant les six mois précédents avaient un risque de 45 % inférieur de pré-éclampsie que les non-consommatrices. La réduction du risque était plus significative parmi les femmes minces. Quand les femmes minces ont été analysées indépendamment, celles ayant consommé des multivitamines avaient un risque de 71 % inférieur de pré-éclampsie que les non-consommatrices. Ces résultats suggèrent que la consommation régulière d'un supplément de multivitamines dans les mois précédents la grossesse et pendant la grossesse puisse aider à prévenir la pré-éclampsie, particulièrement parmi les femmes minces.

Source: Periconceptional Multivitamin Use Reduces the Risk of Preeclampsia, Lisa M. Bodnar, Gong Tang, Roberta B. Ness, Gail Harger and James M. Roberts, Am J Epidemiol. 2006 Jun 13, 164(5):470-477

mercredi 22 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - C'est seulement une question de temps

Il y a une fausse conception à propos de la supplémentation. Dans cette ère de médication, les gens croient qu'ils devraient remarquer des différences au cours des quelques jours ou après une semaine ou deux. Cependant, la médecine nutritionnelle se distingue complètement de la médecine allopathique ou de médecine de l'ouest traditionnelle. Les suppléments nutritionnels sont simplement des nutriments que le corps utilise dans ses réactions enzymatiques normales. Ils ne sont pas des médicaments. Ils sont des nutriments provenant de nos aliments, mais la supplémentation nous permet de les obtenir à des niveaux optimaux que le régime alimentaire seul ne peut fournir.

Il peut prendre entre 6 à 12 mois pour reconstituer n'importe quel manque nutritionnel et optimiser le système immunitaire naturel du corps, le système de défense des antioxydants et le système de réparation. Si vous avez plus de 30 ans ou avez déjà une maladie dégénérative chronique, celà peut prendre plus de temps. C'est pourquoi je souligne maintes et maintes fois que vous avez besoin de donner à votre corps un minimum de 6 mois, ou encore mieux une année, avant de pouvoir évaluer les avantages de la supplémentation nutritionnelle.Quand mes patients me disent qu'ils essaieront d'utiliser les suppléments recommandés pour un mois, je leur dis de ne pas les commencer. Si vous n'êtes pas disposés à essayer mes recommandations pour au moins 6 mois, vous ne devriez pas même commencer.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Parution: 3 juillet 2008

mardi 21 octobre 2008

La consommation de multivitamines avant la grossesse réduit les risques de naissances avant terme

La naissance avant terme est associée à beaucoup de risques pour la santé des enfants aussi bien qu'à un taux inférieur de leur survie pendant la première année de vie. Les femmes qui prennent des multivitamines avant la conception ont la moitié moins de risques d'accoucher avant terme que celles qui attendent d'être enceintes avant de commencer à prendre des suppléments nutritionnels.

Une étude publiée dans l'édition de novembre de 2004 du American Journal of Epidemiology a démontré que la consommation de suppléments de multivitamines chez les femmes avant de devenir enceinte a été associée à moins d'accouchements avant terme. La naissance avant terme est définie comme la naissance à moins de 37 semaines de gestation et est associée à un taux inférieur de survie infantile pendant la première année de vie. Les chercheurs ont utilisé les données de l'étude : grossesse, infection et nutrition qui a recruté 2 010 femmes entre les 24e à 29e semaines de grossesse. Ils ont comparé l'incidence d'accouchement avant terme parmi les femmes qui ont pris des multivitamines avant la conception, avant la conception et pendant la grossesse, pendant la grossesse seulement, ou pas du tout. Les femmes qui ont pris un supplément de multivitamines avant la conception avaient la moitié moins de risques d'accouchement avant terme (hâtif ou tardif) que celles qui n'ont pris aucune vitamine. Les femmes qui ont consommé des multivitamines pendant la grossesse seulement avaient à peu près la même quantité de naissances avant terme que les femmes qui n'en ont pas pris du tout. Cette étude, aussi bien que beaucoup d'études précédentes, renforce l'inquiétude qu'attendre l'annonce de la grossesse peut être trop tard pour profiter des bienfaits nutritionnels possibles pour plusieurs conditions reliées à la grossesse.

Source: Multivitamin Use and the Risk of Preterm Birth, Anjel Vahratian, Anna Maria Siega-Riz, David A. Savitz, and John M. Thorp Jr, Am J Epidemiol. 2004 Nov 1;160(9):886-92.

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - Le concept santé de la nutrition cellulaire

Losrque vous parcourez la littérature médicale, vous vous rendez compte qu'il y a différents types de radicaux libres retrouvés dans différentes parties du corps. La vitamine E est probablement le meilleur antioxydant dans les parois cellulaires et vous constaterez généralement un bienfait sur votre santé si vous consommez ce nutriment. Cependant, quand une étude combine la vitamine C avec la vitamine E, vous découvrirez qu'habituellement les participants en tirent un plus grand bienfait sur leur santé. Il devient alors évident que vous voudrez prendre une variété d'antioxydants qui agiront aux différentes parties du corps et contre différents radicaux libres. Il devient aussi évident que ces antioxydants ont besoin de minéraux de soutien et de cofacteur-B afin de performer à leur niveau optimal.

Quand vous fournissez tous ces nutriments aux cellules à leurs niveaux optimaux via la supplémentation, la cellule peut décider de quoi elle a besoin et ce dont elle n'a pas besoin. Au fil du temps (habituellement de 6 à 12 mois), le corps est capable de combler complètement toutes les déficiences et d'amener tous les autres nutriments de soutien à des niveaux optimaux. Ceci n'optimisera pas seulement le système de défense naturel des antioxydants du corps, mais il créera aussi la synergie qui est essentielle dans la prévention du stress oxydatif .

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Parution: 29 juin 2008

dimanche 19 octobre 2008

La métaanalyse de JAMA sur les antioxydants — les données dégradées, l'analyse biaisée et les conclusions inappropriées

« Dans le monde de la science, tout se sait rapidement et tout se discute. L'an dernier une métaanalyse du Journal of American Medical Association (JAMA) a été publiée sur les potentiels effets négatifs des antioxydants. Certains de mes collègues scientifiques m'ont rapporté cette étude à la suite d'une discussion sur la prise de suppléments antioxydants et m'ont fait part de leurs inquiétudes. Des réponses ont été données à ce sujet afin d'éclaircir la situation. Je tenais à partager avec vous ces dernières, en espérant qu'elles pourront vous éclairer aussi »
Sincèrement, Isabelle Brunet

Des histoires sensationnalisant les résultats d'une étude controversée du numéro du 28 février 2007 du Journal of American Medical Association (JAMA) insinuaient que les antioxydants n'ont aucun bénéfice sur la santé, et en fait, peuvent même mener à une hausse de la mortalité. Dans notre analyse de cette étude, nous ne retenons très peu ou même aucune évidence soutenant cette conclusion.

Il est important de comprendre que cette étude n'était pas un nouvel essai clinique, mais une analyse statistique déterminée par beaucoup d'études (appelée une métaanalyse). Les métaanalyses sont en fait conçues pour rassembler des études semblables aux fins de comparaisons statistiques. Cependant pour cette métaanalyse, les auteurs ont rassemblé des études différant considérablement par leur structure, leur taux d'utilisation, leur durée et leur population étudiée. Après une révision minutieuse, il semble que les auteurs aient analysé simplement des données qui correspondent à une conclusion prédéterminée, ce qui est une utilisation invalide d'une méthode statistique. Ceci est un bel exemple d'une utilisation statistique impropre dans la méthodologie de recherche.

Il y a un grand lot de données incluant des études d'observation, des études épidémiologiques prospectives et des études cliniques randomisées qui a montré les avantages de la supplémentation avec des antioxydants (incluant la réduction des maladies cardiovasculaire, de quelques cancers, le support immun et la réduction de la progression des maladies de l'oeil). De façon intéressante, ces études ont été exclues de l'analyse. Pendant que l'analyse initiale examinait 1201 documents de recherche provenant de 815 essais, seulement 68 essais ont été utilisés dans l'analyse finale. Bien plus encore, quand les résultats initiaux de ces données n'ont pas montré d'effet sur les taux de mortalité, les auteurs ont retiré 21 études supplémentaires (appelé une subanalyse) afin de tirer leur conclusion que les suppléments augmentent le risque de mortalité.

De façon intéressante, dans ces 47 études restantes, les doses utilisées excédaient de beaucoup les taux d'utilisation normaux, et dans plusieurs cas, étaient bien au-dessus des limites supérieures tolérables à consommer (c'est-à-dire qu'ils ont utilisé des doses qui pouvaient ne ne pas être sûres). Par contre, les études éliminées de cette étude utilisaient généralement des doses qui n'ont pas excédé les limites supérieures et étaient plus en accord avec les taux d'utilisation réels.

Finalement, la majorité des études examinées sont des études de prévention secondaires. C'est-à-dire, les populations à l'étude avaient été déjà été diagnostiquées avec des maladies telles que des maladies du cœur et des cancers. C'est une population très risquée à étudier et les conclusions de ces études ne devraient pas être utilisées pour faire des recommandations pour la prévention dans des populations en santé en général.

Nous ne sommes pas les seuls qui ont critiqué ces résultats. Plusieurs organisations scientifiques et d'autres chercheurs ont déjà publié des critiques sur ce papier. Le professeur Balz Frei directeur de l'Institut Linus Pauling à l'université d'Oregon a exprimé :

.......................................................................

"C'est une analyse détériorée de données détériorées et qui fait peu pour nous aider à comprendre les effets réels des antioxydants sur notre santé qu'ils soient favorables ou non. Au lieu de provoquer des dommages, la totalité de l'évidence indique que les antioxydants provenant de la nourriture ou des suppléments ont beaucoup d’avantages sur notre santé, incluant le risque réduit d'être atteint de maladies cardiovasculaires, de quelques types de cancers, de maladies de l'oeil et de maladies neurodégénératives. En plus, ils sont des éléments clés pour améliorer le système immunitaire et la résistance aux infections.

La métaanalyse publiée dans JAMA, qui est une analyse statistique de données publiées auparavant, a jeté un coup d'oeil à 815 essais d'antioxydants, mais a inclus seulement 68 d'entre eux dans son analyse. Deux des études exclues (qui ont été publiées dans le Journal of the National Cancer Institute and the prominent British medical journal Lancet) ont montré des bénéfices substantiels et une mortalité réduite par la consommation de suppléments d'antioxydants.

Si ces deux grandes études avaient été incluses, aucun des effets énoncés sur l'augmentation de la mortalité n'aurait été important à l'exception des effets de la bêta-carotène. La recherche démontrant une plus haute incidence de cancer du poumon chez les fumeurs qui prennent des suppléments de bêta-carotène ou de vitamine A fait partie des vieilles nouvelles et est connue depuis plusieurs années. Il est connu que de très hautes doses de vitamine A ont de multiples effets défavorables sur la santé.

Tout ce que la nouvelle étude démontre vraiment, c'est un biais identifiant des études ou des recherches montrant des effets néfastes provoqués par les antioxydants et le retrait sélectif de recherches qui en montrent les avantages."

.......................................................................

Nous ne savons pas pourquoi les auteurs ont voulu évaluer ce petit groupe d'études soigneusement sélectionné ou pourquoi ils ont ignoré le lot d'évidences publié sur les avantages des antioxydants, mais ceci a l'air d'être une évidente tentative de sensationnaliser des données incomplètes qui ne servent qu'à inquiéter une grande partie de la population qui consomme des suppléments. Nous ne sommes pas dupés par ce rapport. En outre, nous continuerons à fournir à nos associés et clients une large gamme d'antioxydants à utiliser dans le cadre d'un programme nutritif complet.
John Cuomo, Ph D. Executive Director R&D USANA Health Sciences, Inc.

Le texte intégral du communiqué de presse de l'Institut Linus Pauling peut être trouvé ici.

Des commentaires supplémentaires sur l'étude du JAMA peuvent être trouvés aux liens suivants :

Council for Responsible Nutrition
NutraIngredients.com
Natural Products Association
Alliance for Natural Health

dimanche 12 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - Nutrition cellulaire

Depuis des années, j'ai promu un concept dans ma pratique médicale que j'appelle la nutrition cellulaire. Ce que j'ai appris dès le début de mes recherches et dans la pratique de la médecine nutritionnelle était que presque toutes les études évaluaient un seul nutriment à la fois. Par exemple, l'étude évaluait seulement la vitamine C ou la vitamine E ou le sélénium ou le calcium ou l'acide alpha-lipoïque. C'est de cette façon que nous faisons nos recherches. Cependant, la vitamine E et la vitamine C ne sont pas des médicaments. Ils sont des nutriments provenant de la nourriture. Aujourd'hui à cause de la supplémentation nous sommes capables de les obtenir à des niveaux impossibles à obtenir dans les aliments.

Tous ces nutriments collaborent en synergie. La vitamine E est le meilleur antioxydant dans les parois cellulaires. La vitamine C est le meilleur antioxydant dans le plasma. Le glutathion est le meilleur antioxydant intracellulaire. Tous ces antioxydants ont besoin des soi-disant minéraux antioxydants et des cofacteurs-B pour effectuer leur travail. Je ne veux pas seulement que mes patients reçoivent tous les bénéfices pour leur santé que ces nutriments peuvent leur procurer, mais je veux aussi être certain que ces nutriments sont fournis à la cellule à des niveaux optimaux. La nutrition cellulaire est donc définie comme un processus fournissant tous ces nutriments à la cellule à des niveaux optimaux ou à des niveaux fournissant des bénéfices pour la santé selon la littérature médicale.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Publication: 22 juin 2008

samedi 11 octobre 2008

Les substituts de repas aussi efficaces que les médicaments pour le maintien du poids

La partie la plus difficile de n'importe quel programme de perte de poids n'est pas de perdre du poids, mais de ne pas le reprendre. Par conséquent, beaucoup de personnes choisissent les médicaments pour les aider à maintenir le poids perdu. Les résultats d'une étude démontrent que les substituts de repas peuvent être aussi efficaces que les médicaments pour aider les gens à la diète à maintenir leur poids. Les chercheurs ont comparé l'avantage d'utiliser des boissons remplaçant un repas au médicament "Orlistat " dans deux groupes de personnes qui avaient subi une perte significative de poids. Une année après leur perte de poids, le groupe utilisant des boissons remplaçant un repas avait mieux maintenu leur poids que le groupe utilisant la médication. Pour beaucoup de personnes, les boissons remplaçant un repas peuvent être une méthode efficace, simple et sûre au maintien d'un poids santé.

On a démontré récemment que les boissons remplaçant un repas étaient aussi efficaces que les médicaments pour maintenir la perte de poids selon une étude publiée dans le Journal of the American College of Nutrition. Dans cette étude, les participants ont suivi un régime à faibles calories pendant 12 semaines suivies par 4 semaines de réintroduction à la nourriture solide. Ensuite, les sujets ont été choisis au hasard pour recevoir des substituts de repas ou Orlistat (une médication qui bloque l'absorption des graisses dans les intestins), tous les deux en combinaison avec un plan de repas structuré calculé pour maintenir la perte de poids. Pour une durée d'un an, tous les sujets ont ensuite suivi un programme de soutien incluant de l'enseignement sur des thèmes tels que le style de vie, l'activité physique et la nutrition. Durant le maintien du poids, il n'y avait aucune différence significative dans les activités physiques, la consommation de fruits et légumes et le nombre de pas enregistrés au podomètre entre les groupes. Après un an, le groupe consommant des substituts de repas avait repris seulement 5.9 livres comparativement au groupe Orlistat qui avait repris 6.2 livres. Les substituts de repas et Orlistat étaient aussi efficaces l'un que l'autre pour maintenir le poids de façon significative au-dessous des niveaux recommandés pour une période d'un an. Cependant, le groupe consommant des boissons remplaçant un repas a maintenu et ceci leur poids encore mieux que le groupe utilisant la médication et ceci sans les effets secondaires. Pour beaucoup de personnes, les boissons remplaçant un repas peuvent être une méthode efficace, simple et sûre au maintien d'un poids santé.

Source: A Comparison of Meal Replacements and Medication in Weight Maintenance after Weight Loss, James D. LeCheminant, Dennis J. Jacobsen, Matthew A. Hall and Joseph E. Donnelly, Journal of the American College of Nutrition, Vol. 24, No. 5, 347-353 (2005)

mercredi 8 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - Vos suppléments se dissolvent-ils?

Comme médecin, je ne me suis pas vraiment posé la question si les suppléments nutritionnels de mes patients se dissolvaient ou non. Tous les médicaments que j'ai prescrits, qu'ils ai porté une marque de commerce ou qu'ils étaient des génériques, étaient tenus de suivre les normes USP (US Pharmacopeias). Cela signifie que la qualité et la dissolution du comprimé étaient régulées. Ceci n'est pas le cas pour l'industrie des suppléments nutritionnels, de nouveau, il s'agit d'une industrie essentiellement non régulée .

Lorsque je faisais la recherche pour mon livre, ce que votre médecin ignore de la médecine nutritionnelle pourrait vous être fatal , j'ai trouvé une étude faite à l'université du Maryland ou 9 différentes prescriptions de vitamines prénatales ont été étudiées. Les chercheurs n'ont pas regardé ce qui était dans le comprimé; ils ont regardé simplement si le comprimé se dissolvait ou non. À ma stupéfaction, seulement 3 des 9 prescriptions de vitamines prénatales se dissolvaient. Qui a-t-il de bon à avoir des nutriments en bonnes quantités si le comprimé même ne se dissout pas? Vous gaspillez seulement votre argent. Il est important que les suppléments que vous décidez de prendre suivent les normes USP. C'est la seule façon d'être assuré que vos comprimés se dissolvent.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Publication: 19 juin 2008

mardi 7 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - Prendre les suppléments meilleur marché que l'on puisse trouver?

Au début de ma carrière, je me souviens d'avoir dit à mes patients qui avaient décidé de prendre des suppléments de prendre les meilleur marché qu’ils pouvaient trouver. La raison pourquoi j'ai fait ce commentaire était que je ne croyais pas vraiment que les suppléments avaient une valeur de toute façon, alors pourquoi ne pas acheter les moins dispendieux. Au moins, ils ne coûteraient pas de trop d'argent à mes patients.

Par contre, maintenant que je me rends compte de tous les bénéfices que mes patients peuvent obtenir en prenant des suppléments, je veux être certain qu'ils consomment des produits de haute qualité.Une des plus grandes frustrations de devenir un spécialiste en médecine nutritionnelle est que je travaille avec un marché non régulé. La FDA considère les suppléments nutritifs de la même façon qu'elle considère les aliments. Cette industrie entière n'est pas vraiment régulée et une compagnie oeuvrant en nutrition peut mettre à peu près n'importe quelle quantité de nutriments dans ses comprimés. En d'autres termes, la quantité mentionnée sur l'étiquette n'est pas nécessairement celle qui est dans le comprimé. À moins qu'une compagnie produise volontairement ses suppléments nutritifs sous les normes de qualité pharmaceutiques, le consommateur n'a aucune assurance que ce qui est sur l'étiquette est dans le comprimé.

Pourquoi vendre votre santé au plus bas soumissionnaire? Prendre des suppléments de qualité supérieure, complets et équilibrés est la police d'assurance maladie la moins dispendieuse que vous pouvez trouver.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Publication: 12 juin 2008

Une étude canadienne indique que la qualité des suppléments nutritionnels est toujours source d'inquiétude

Dans une étude des chercheurs ont découvert que plus de la moitié des suppléments nutritionnels évalués ne se désintégraient pas correctement. Ils ont inclus dans l'épreuve 39 comprimés et 10 capsules contenant des minéraux et des vitamines commercialement disponibles sur le marché canadien.

Les multiminéraux d'Usana ont été inclus dans l'épreuve. Le premier stade de désintégration a été exécuté en utilisant du fluide intestinal simulé (simulated intestinal fluid: SIF) pH 6.8 pendant 20 minutes. Les produits qui ne se sont pas désintégrés ont été à nouveau analysés en utilisant les conditions de désintégration d'USP des suppléments alimentaires. Des 39 comprimés évalués, seulement 18 produits (incluant les multiminéraux d'Usana) se désintégraient complètement au premier stade. Les 21 comprimés qui n'ont pas passé la première étape ont été alors évalués pour la désintégration en utilisant des conditions d'USP. Neuf comprimés ne se désintégraient toujours pas, en incluant trois produits à libération dans le temps. Quarante pour cent des capsules ont aussi échoué la première étape, bien que tous les dix aient finalement passé lorsque soumis aux conditions testées USP. Cette étude illustre que la désintégration, un indicateur fondamental de la qualité d'un produit, demeure une inquiétude en ce qui concerne les suppléments alimentaires.

Source : J Pharm Pharmaceut Sci (cspscanadian.org) 9 (1) :40-49, 2006

lundi 6 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - L'évidence médicale qui demande un verdict: Est-ce que vous devriez prendre des suppléments nutritionnels?

Vous entendrez l'argument que nous avons besoin de compléter notre régime à cause de notre nourriture réduite en nutriments. C'est vrai; cependant, ce n'est pas la principale raison. La principale raison est l'immense quantité de radicaux libres que nous produisons. Nos styles de vie stressants, l'environnement pollué et la société trop médicamentée font en sorte que notre génération doit gérer plus de radicaux libres que n'importe laquelles gdes générations précédentes. Souvenez-vous, tout est dans l'équilibre. Vous avez besoin d'assez d'antioxydants disponibles pour gérer le nombre de radicaux libres que vous produisez.La littérature médicale prouve maintenant que le niveau optimal d'antioxydants et de nutriments de soutien nécessaires pour prévenir ou diminuer les risques de maladies dégénératives chroniques est beaucoup plus grand que la quantité que nous pouvons obtenir dans nos réserves de nourriture déficitaire. Notre meilleure option de prévenir ou de ralentir le processus de stress oxydatif est de prendre des suppléments de haute qualité, complets et équilibrés pour le reste de nos vies.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Publication: 29 mai 2008

dimanche 5 octobre 2008

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - D’où proviennent nos antioxydants

Notre corps a la capacité de générer certains de ses propres antioxydants. Il est également possible de se procurer des antioxydants à partir de la nourriture que nous consommons, principalement des fruits et des légumes. C'est pourquoi vous verrez habituellement la recommandation de consommer 6 à 10 portions de fruits et de légumes chaque jour. Cependant, nous sommes aujourd'hui maintenant capables d'obtenir des niveaux optimaux d'antioxydants en complétant notre régime sain. Souvenez-vous que tout est dans l'équilibre.

Pour éviter le stress oxydatif, vous voulez avoir suffisamment d'antioxydants pour s'occuper des radicaux libres produits.Il y a de fermes évidences que nos réserves de nourriture sont réduites en nutriments. À cause de nos sols pauvres, des récoltes précoces de produits immatures, de l'entreposage frigorifique, des traitements et des méthodes de préparation de la nourriture, nos aliments ont une diminution significative de leur valeur nutritive. Ceci est d'autant plus vrai pour les micronutriments, spécialement les antioxydants. La diminution de la valeur nutritive de la nourriture est sans aucun doute une bonne raison de compléter votre régime. La prochaine chronique expliquera ce que je crois être la raison principale du pourquoi nous avons besoin de compléter nos régimes

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Publication: 26 mai 2008

jeudi 2 octobre 2008

Partie IV de IV - Comprendre les antioxydants- Sécurité des multivitamines et antioxidants


Les suppléments nutritionnels ont été largement utilisés et hautement valorisés par les consommateurs américains depuis que les vitamines ont été découvertes et commercialisées au cours des premières décennies des années 1900. Selon une récente enquête nationale sur la santé, plus de 78 millions d'adultes américains consomment des multivitamines sur une base régulière.
Les suppléments de multivitamines et de minéraux sont un moyen efficace de fournir des quantités adéquates de la plupart des nutriments essentiels afin d'aider les gens à atteindre la consommation recommandée. La grande majorité des suppléments alimentaires, en incluant les multivitamines, sont sécuritaires à consommer régulièrement. En dépit de l'usage répandu, il n'y a eu aucun rapport précis publié de toxicité ou d'effets néfastes associés à l'utilisation de multivitamines.Une série d'essais cliniques bien publicisés conduits sur des patients malades utilisant des doses relativement élevées de nutriments simples ou combinés (comme la vitamine E et/ou la bêta carotène), a produit des résultats décevants. Cependant, ces essais ont été conduits sur des patients aux prises avec de sérieuses maladies (c'est-à-dire le cancer ou une maladie cardiovasculaire) et qui prenaient de multiples médicaments ou qui étaient de lourds fumeurs. Les résultats de ces essais devraient être placés dans leur contexte et ne sont pas applicables à la population généralement en bonne santé.
Des niveaux élevés d'antioxydants sont communs parmi presque toutes les populations qui sont moins enclines à la maladie dégénérative chronique prématurée. Les Japonais consomment de grandes quantités de fruits, légumes, thé vert et soja dans le cadre de leur régime traditionnel. Les végétariens présentent moins de maladie du cœur et de cancer, comparé au régime varié typique, probablement en partie en raison des plus hautes consommations d'antioxydants. Malgré que des quantités élevées de nutriments simples et d'aliments peuvent poser un risque de danger et de toxicité, il n'y a aucun danger connu à consommer des antioxydants complets chez les individus normalement en bonne santé.
Source: USANA Health Sciences

Les "Pépites de Santé" du Dr Ray Strand - Le stress oxydatif- Vous rouillez de l'intérieur

Quand vous produisez plus de radicaux libres que vous pouvez gérer, vous créez ce qui est connu sous le nom de stress oxydatif. L'oxygène est essentiel à la vie; cependant, il est aussi dangereux pour notre existence. C'est le même processus qui fait qu'une pomme coupée devient brunâtre ou encore qu'un morceau de métal rouille, qui fait rouiller votre corps à l'intérieur.

Ce processus de stress oxydatif est la cause qui sous-tend la majorité des maladies dégénératives chroniques.Le stress oxydatif est littéralement le côté sombre d'oxygène. Cependant, nous ne sommes pas sans défense contre ce processus. Les antioxydants ont la capacité de neutraliser un radical libre. L'équilibre est la solution. Vous avez besoin d'avoir assez d'antioxydants à votre disposition pour s'occuper du nombre de radicaux libres produits. Alors, vous êtes capables d'empêcher le stress oxydatif de se produire.

Source: Dr. Strand Health Nuggets
Publication: 22 mai 2008